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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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J'ai mal à mon école - Testament d'un inspecteur de l'Education nationale

01/09/2010 21:01

J'ai mal à mon école - Testament d'un inspecteur de l'Education nationale


J'ai mal à mon école - Testament d'un inspecteur de l'Education nationale

de Jean Marc Louis

Broché
Paru le : 26/08/2010
Editeur : Presse de la Renaissance
ISBN : 978-2-7509-0624-5
EAN : 9782750906245
222 pages
 
Résumé
L'Ecole est en souffrance.
Souffrance des professeurs, mais aussi des élèves. C'est cette situation qui a poussé l'auteur à décrire son testament d'inspecteur de l'Education nationale. Absentéisme des enseignants et des élèves, troubles de santé, violence, difficultés scolaires sont les symptômes parmi d'autres de cette souffrance. Dans cet ouvrage, J-M Louis met en cause la transformation progressive de ce qui était une institution porteuse de valeurs en un système de plus en plus déshumanisé.
Il explique que la finalité de l'Ecole n'est plus la réussite des élèves mais sa propre performance. Indicateurs, statistiques, évaluations, tableaux de bord... sont devenus les mots-clés d'une gestion qui s'apparente à celle de l'entreprise. Cette évolution, qui se soucie peu de la pédagogie et de la qualité de l'enseignement, a plusieurs causes : la mainmise du politique qui se sert de l'Ecole à des fins économiques et idéologiques ; l'intellectualisme et le dogmatisme de ceux qui rénovent et gèrent l'École ; enfin, la passivité du monde enseignant qui se replie sur lui-même, ignorant la réalité de sa force et de son pouvoir.
Pour J-M Louis, aucune réforme n'apportera de réponse pertinente et durable au « mal-être » de l'Ecole si elle n'intègre pas la dimension humaine de ceux qui la font : ses personnels et bien sûr les élèves. C'est pourquoi, dans une dernière partie, il propose des pistes pour progresser dans cette voie.
 
 





De l’importance de la nation

01/09/2010 12:28

De l’importance de la nation


Ce petit article d’un site ami qui a le mérite de recadrer ce qu’est réellement le principe de nationalité.  

 

De l’importance de la nation  

 

Tenter de s’entendre sur la définition de la nation est une entreprise périlleuse, pour ne pas dire une gageure, puisque le principe même de nation n’a pas cessé d’évoluer au fil des siècles. Afin de m’approcher le plus possible du sujet, j’ai étudié différents auteurs qui avaient pu écrire sur le sujet. Courageux, je me suis même rendu à la Fnac où, lorsque je me suis enquis d’un ouvrage historique sur la nation, j’ai été renvoyé vers celui…d’Eric Besson. 

Le cœur gros et à regret, j’ai donc acheté ce petit opuscule composé lors du débat sur l’identité nationale. Pour l’avoir parcouru, hormis quelques erreurs historiques et orientations idéologiques branlantes, le livre se tient. Et pour cause, il s’agit d’un ramassis de poncifs que l’on peut trouver un peu partout. 

Non, finalement, quand il s’agit de définir la nation, mieux vaut s’en remettre à Ernest Renan et à sa fameuse conférence du 11 mars 1882. Selon lui, « l’ethnie, la langue, les intérêts, l’affinité religieuse, la géographie, les nécessités militaires » ne suffisent pas à définir une nation.  Pour Renan, la nation est un « principe spirituel présent à la fois dans le passé et le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage que l’on a reçu indivis ». 

Bien sûr, certains objecteront que nous ne sommes français que du fait du hasard de l’existence, et dès lors « doit-on légitimement se glorifier d’une chose dont on n’est absolument pas responsable ? ».  La définition de Renan répond parfaitement à cela : notre fierté ne repose pas sur notre lieu de naissance, mais sur notre sentiment d’appartenance à une communauté, à une histoire philosophique et culturelle qui nous est propre et dont il est légitime de nous enorgueillir.  Ce type de questionnement repose sur un stoïcisme latent : je ne peux être fier de ce dont je suis intimement responsable. Dès lors, comment se fait-il que nous soyons fiers de notre famille, de nos parents ? Devrions-nous également nous abstenir de ce genre de sentiments ?  Quant aux ignominies et faits de gloire que nous recevons en héritage, nous n’avons pas à en faire le tri, mais nous devons simplement tenter d’y puiser de quoi maintenir le fil de notre histoire commune.  Il est un chant spartiate qui symbolise bien cet atavisme « Nous sommes ce que vous fûtes ; nous serons ce que vous êtes ». 

N’oublions pas que la nation s’est construite aux dépens des empires et des monarchies, et reste la meilleure réponse aux tentatives de domination universelle, sans aucun doute le « meilleur cadre de l’expression démocratique » pour reprendre l’expression de J. P Chevènement. La pensée post-frontiériste est dangereuse, car sous prétextes d’ouverture au monde elle nous pousse vers le formatage unique. L’internationalisme est aliénant car il supprime les différences et anesthésie la pensée. La nation n’est pas donc pas un symbole de fermeture mais au contraire d’ouverture au monde dans son altérité… 

 

Nation et nationalisme… 

Marianne n’aime pas qu’on la refuse : à chaque fois qu’on la délaisse, l’extrême droite s’en empare. Pour enraciner son idéologie nationaliste, le FN nous dépossède progressivement de tous nos symboles républicains. 

Frappée de la macule nationaliste, les hommes politiques n’osent plus aborder la question de la nation, et lorsqu’ils le font, ils orientent le débat à des fins bassement électoralistes. Le débat sur l’identité nationale cherchait à figer et à rétrécir la question de la nation. 

Aujourd’hui l’extrême droite comme une partie de l’UMP donne une bien triste image de la nation. Ne plus évoquer la nation sous prétexte qu’elle est instrumentalisée à des fins politiciennes, c’est laisser le champ libre aux nationalistes pour imposer leur vision unique de ce principe républicain. Dominique de Villepin est dans le vrai lorsqu’il dit que la politique menée par ce gouvernement engage notre responsabilité et que nous avons un devoir de refus à lui opposer. 

La nation doit avant tout être le symbole du vivre ensemble, assise sur des principes de solidarité nationale comme celui de la sécurité sociale.  Le patriotisme est sain lorsqu’il est le ferment de notre communauté nationale, le désir renouvelé de partager une histoire commune de génération en génération.  Le nationalisme pallie toujours une absence. Il s’adresse à ceux qui se sentent rejetés par la nation, et qui marquent leur différence par une exacerbation de leurs sentiments identitaires. Le nationalisme est un repli sur soi, là où la nation est une ouverture à l’autre. Le nationalisme, en défendant une vision anomique de notre société, se place aux antipodes du principe de nation. 

Pourtant, la France se trouve aujourd’hui dans une situation analogue à celle de l’Allemagne d’il y a quelques années : nous sommes comme paralysés au moment d’évoquer notre fierté d’être français. Le patriotisme ne semble bon qu’à célébrer les dieux du stade au moment des grandes célébrations sportives. Il y a une sorte de chape de plomb qui plane sur la société française. En Allemagne, cela s’expliquait par la difficulté d’assumer et de surmonter la période nazie. Les Allemands ont du envisager la culpabilité comme une part constitutive de leur histoire. Ceci n’est pas notre cas, et pourtant nous éprouvons la même difficulté dans l’expression de notre patriotisme. 

Je crois qu’il faut avoir l’audace de défendre une autre image de la nation que celle véhiculée par les nationalistes, afin de réaffirmer les valeurs universelles qui en sont le socle. « La nation est un plébiscite de tous les jours »  concluait Renan : il nous faut désormais nous la réapproprier…  

 

http://reversus.fr/2010/08/25/ne-laissons-pas-a-lextreme-droite-le-monopole-de-la-nation/ 

 






Les retraites en or de l’Union Européenne

01/09/2010 11:22

Les retraites en or de l’Union Européenne


D’accord, rien de comparable avec les retraites en or des pdg, mais les 129 - très - hauts fonctionnaires de l’Union européenne (commissaires, juges, greffiers...) n’ont vraiment pas à se plaindre. Aucun régime de retraite de la fonction publique dans les 27 États membres n’est aussi favorable. Et pour cause, un commissaire européen, un juge, un avocat général de la Cour de justice... n’acquittent aucune cotisation, contrairement au fonctionnaire européen lambda qui, lui, verse 10,90 % de son traitement de base.
Mais pour ce tarif zéro, les hauts fonctionnaires de l’Union bénéficient de prestations luxueuses détaillées dans un rapport que s’apprête à publier Sauvegarde Retraites, association connue pour son obstination à traquer les abus. Ainsi, quand ils abandonnent leurs fonctions, les maîtres de l’Union peuvent toucher jusqu’à 70 % d’un dernier traitement très confortable. Les émoluments de ces "superfonctionnaires" s’élèvent, en moyenne, à 21.260 euros mensuels. Au bas de l’échelle, le greffier du Tribunal de la fonction publique touche 16.327 euros. En haut, le président de la Cour des comptes perçoit 23.405 euros et celui de la Cour de justice 26.651 euros, et cela, sans indemnités et autres suppléments familiaux (par exemple, plus de 2.000 euros par mois pour 3 enfants à charge !).
Pour obtenir les 70 % de leur dernier salaire pour leurs retraites, les hauts fonctionnaires de l’Union n’ont pas besoin de trimer 40,5 ans, comme dans le privé, en France. Il suffit de "tenir" 16 ans. La vérité oblige à dire qu’il est assez rare de parvenir à ce seuil fatidique compte tenu de la durée des mandats, mais même un court passage reste avantageux. Ainsi, Jacques Barrot, vice-président de la commission chargée des transports, au terme de seulement 5 ans de mandat, aura droit, en octobre, à une pension de 4.728,20 euros.
Les partants peuvent espérer toucher entre 300.000 et 500.000 euros.

Lire la suite de l’article sur lepoint.fr



Commentaire de Caton l\'ancien (01/09/2010 17:12) :

Un exemple pour nous tous ! Je plaisante bien sur. Pour nous ce sera 42 ans de cotisation et une retraite à 65 voir 70 ans, non mais des fois... C'est du civisme version Sarkozy !





Langue(s) et constitution(s)

01/09/2010 10:59

Langue(s) et constitution(s)


Langue(s) et constitution(s) 

D’Anne-Marie Le Pourhiet 

Paru le : 24/02/2004 

Editeur : Economica 

Collection : Droit public positif 

ISBN : 2-7178-4790-1  

EAN : 9782717847901 

261 pages 

Résumé 

Ce colloque organisé les 7 et 8 décembre 2000 à la Faculté de droit et de science politique de l'université Rennes 1, a eu le très grand mérite d'éclairer un débat très confus et de fournir des données objectives susceptibles de donner plus de sérénité à des discussions marquées par une incontestable subjectivité et, par fois même, une forte passion.
Ce débat et ces discussions n'ont rien perdu de leur actualité et la publication des actes du colloque de Rennes est donc particulièrement bienvenue. La lecture de ces actes fera d'abord prendre conscience que, comme le souligne Anne-Marie Le Pourhiet dans son introduction, " la variété des situations est infinie " et il est aussi vain que dangereux de vouloir uniformiser les régimes applicables : la situation française n'est pas nécessairement comparable à celle de ses voisins, notamment italien ou allemand.
En outre, comme il a été montré dans ce colloque, la mise en avant d'une langue régionale peut être un élément d'identification mais aussi de discrimination ; qui ne parle pas cette langue sera écarté de l'accès à un certain nombre d'emplois ou de fonctions, voire du corps électoral. Il semble sensé de considérer que l'usage d'un parler local ne se conçoit que si l'apprentissage s'est fait dans un double cadre, familial et rural, et s'il reste cantonné à ce cadre.
L'apprentissage scolaire d'un tel parler, surtout lorsqu'il s'adresse à de jeunes citadins qui ne connaissent pas le monde rural dans lequel celui-ci s'est développé et épanoui, paraît bien artificiel surtout lorsqu'on veut ensuite l'utiliser comme langue d'enseignement selon le procédé dit " d'immersion ". Puissent les actes de ce colloque inciter à davantage de modération et de réflexion dans ce débat où cependant certains responsables politiques commencent à remettre en cause quelques certitudes

L’Auteur 

Anne-Marie Le Pourhiet est juriste et professeur agrégé de droit public. Elle est également vice-présidente de l'Association française de droit constitutionnel (AFDC) et de la Société des professeurs des facultés de droit (SPFD), elle est aussi membre suppléante du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESR). Elle a jugé que la ratification parlementaire du traité de Lisbonne (2007) constituait une "haute trahison" et qualifié le mépris du verdict populaire de 2005 de « coup d'État ».




Représentation et représentativité

01/09/2010 10:34

Représentation et représentativité


Représentation et représentativité 

D’Anne-Marie Le Pourhiet 

Broché 

Paru le : 13/08/2008 

Editeur : Dalloz - Sirey 

Collection : Thèmes et commentaires 

ISBN : 978-2-247-08094-6 

EAN : 9782247080946 

97 pages 

Résumé 

La crise de la démocratie représentative se manifeste de multiples manières : contestation du principe majoritaire, abstentions, votes-sanctions...
Pour y remédier, il est fait appel à d'autres formes de démocratie. Il en est ainsi de la démocratie participative qui impliquerait davantage les citoyens dans la prise de décision publique et permettrait aux minorités, identifiées comme telles, de s'exprimer. S'agit-il toujours de démocratie, d'une nouvelle forme de représentation ou d'une autre légitimation de la décision, aux contours encore flous? Cette crise et cette concurrence nécessitent de repenser les fondements et modalités de la représentation.
Si les fonctions du Parlement, de l'élu et du parti politique restent au cœur de la vie politique, comme en témoignent les débats relatifs aux modes de scrutin ou au statut de l'opposition, d'autres moyens d'expression tentent de dépasser cette forme de représentation et de médiation politiques classiques. Les sondages, le rôle de l'image, de l'émotion dans la formation de l'opinion constituent-ils une avancée démocratique ou un mirage de démocratie directe ? Autant de questions auxquelles les contributeurs de cet ouvrage, universitaires spécialistes de droit constitutionnel et parlementaires, ont apporté des réponses éclairantes.

L’Auteur 

Anne-Marie Le Pourhiet est juriste et professeur agrégé de droit public. Elle est également vice-présidente de l'Association française de droit constitutionnel (AFDC) et de la Société des professeurs des facultés de droit (SPFD), elle est aussi membre suppléante du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESR). Elle a jugé que la ratification parlementaire du Traité de Lisbonne (2007) constituait une "haute trahison" et qualifié le mépris du verdict populaire de 2005 de « coup d'État ». 






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